Maxima
Maxima permet de :
- développer
- factoriser
- résoudre des équations
- dériver
- intégrer
- réaliser des courbes en deux et trois dimensions
- manipuler les polynômes, les matrices, les complexes ...
Son langage de programmation est inspiré de LISP qui est son langage sous-jacent. Il est ainsi recommandable pour l'enseignement de la programmation à des scientifiques utilisateurs potentiels du calcul formel. Il est aussi possible de développer dans le LISP sous-jacent de Maxima aussi bien en interprété (pour le débuggage) mais aussi, et c'est ce qui en fait l'intérêt, en compilable.
Pour des besoins de publication, il peut formater ses formules en TeX et il existe un mode Emacs pour un affichage impeccable des formules.
Pour les calculs utilisant intensivement les nombres à virgule flottante et les grands tableaux, Maxima peut générer le code correspondant dans d'autres langages de programmation, tel que le Fortran, code qui s'exécutera d'autant plus efficacement.
Lecture et enregistrement dans un format propriétaire.
Maxima est intégré au logiciel SAGE. Cette intégration assure son interopérabilité avec d'autres logiciels inclus dans SAGE. L'interface graphique de Maxima via SAGE est d'ailleurs meilleure que celle d'origine.
Il est assez agréable d’utiliser TeXmacs ( http://www.texmacs.org/ ) comme interface pour Maxima. Le rendu est proche de celui de Maple.
Une autre interface agréable pour maxima est wxmaxima ( http://wxmaxima.sourceforge.net/wiki/index.php/Mai... ), la seule chose étonnante est que la validation est par défaut maj+enter, ce qui peut se changer dans les préférences.
Nous sommes quelques personnes à l'utiliser pour faire du calcul symbolique et introduire le résultat symbolique du calcul dans du code Fortran.
Ses possibilités graphiques sont plus limitées que celles de Mathematica et de Maple.