gestion
GINA est un projet OpenSource initié et développé par l'Université de Montpellier II dans le cadre de la restructuration de son Système d'Information. GINA est une application Web principalement destinée à aider les chercheurs, enseignants-chercheurs, ita, iatos, doctorants etc... des laboratoires de recherche de type UMR (Unité Mixte de Recherche) dans les tâches de gestion administrative et à fiabiliser les bases de données référentielles (HAL, Harpège, Labintel...), mais GINA sert également à bien d'autres choses encore.
Gestion de l'Information Numérique Administrative ou encore Gina Is Not AIGLe ... Bien que GINA reprenne les principes, les fonctionnalités et la philosophie du logiciel AIGLe , c'est une refonte totale de celui-ci, AIGLe est un "brouillon" de GINA. Cf .
L'équipe de GINA reste ouverte à toute proposition de participation au projet.
Présentations assises CSIESR 2009
Le CSIESR (Comité des Services Informatiques de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche) a organisé ses assises annuelles en mai 2009 près de Bastia en Corse.
Cette manifestation a réuni environ 260 personnes, en majorité des responsables et membres des DSI ou CRI des universités.
Les présentations décrites ci-dessous, transparents et videos, sont disponibles sur le site http://www.csiesr.fr/spip.php?article178&artsuite=1#sommaire_1
- Lundi 25 mai 2009 :½ journée « Vers un référentiel unique »
Animateur : Alain Mayeur
* 14h00 : Réflexion sur la mise en place d'un référentiel unique
Olivier Mounier, Jean-François Valeille, Willy Morel (Université Saint Etienne)
* 14h45 : SUPANN 2008
Christian Claveleira (CRU)
* 16h00 : Le référentiel GRHUM
Philippe Berger (Université de La Rochelle, Consortium Cocktail)
* 16h45 Projet référentiel AMUE
David Rongeat, Magali Clareton-Perotin (AMUE)
- Mardi 26 mai 2009 : ½ journée « DSI et Organisation »
Animateurs : Brigitte SOR (INPT) et Michel VIALA (Consultant)
* 9h00 : DSI, référentiel de compétences 2009
Frédéric Lau (CIGREF)
* 9h45 : Processus et conduite du changement
Michel Viala (MV Consulting)
* 10h45 : La communication, un des mots clés pour le DSI
Daniel Marre (INSA de Toulouse)
* 11h30 : Elaboration d'un schéma directeur des systèmes d'information
Christophe Billot (INP de Grenoble)
- Mercredi 27 mai 2009 : ¼ journée « Techniques »
Animateur : Pascale Urbani
* 8h30 : L'externalisation des services de messagerie dans la communauté de l'enseignement supérieur
Serge Aumont (CRU)
* 9h15 : Virtualisation du poste de travail
Gérard Forestier (IMAG).
- Mercredi 27 mai 2009 : ¼ journée « CNIL ; logiciels libres »
Animateur : Pierre Ageron
* 11h00 : Le correspondant Informatique et Liberté : un interlocuteur incontournable
Leslie Basse (CNIL) et Solenn Houssay (Réseau SupCIL)
* 11h45 : Présentation de Plume
Jean-Luc Archimbaud (CNRS)
Jeudi 28 mai 2009 : ¼ journée « Evolution des métiers d'informaticiens »
Animateur : Stéphane Accart et Thierry Simoni
* 9h00 à 10h15 :
Evolution des métiers d'informaticiens
Mutations
Stéphane Accart (Université de Bordeaux IV), Thierry Simoni (Université de Lyon 1)
Jeudi 28 mai 2009 : ¼ journée « Ecologie et informatique »
Animateur : Françoise Berthoud (CNRS)
* 10h30 à 11h45 : L'éco-responsabilité appliquée à l'informatique
Marianne Parry, Françoise Berthoud (CNRS)
- Un WikiWikiWeb (ou "wiki") est un "système ouvert d'édition" où l'accent est mis sur l'écriture et la collaboration à l'écriture de documents plutôt que la lecture rapide ou leur visualisation simple. Le mot "wiki" provient du terme hawaïen "wiki wiki" qui signifie "informel" ou "rapide". Le concept de base d'un wiki est que (presque) tout le monde peut éditer n'importe quelle page. Voir la définition complète sur Wikipédia
- PmWiki est un bon système de type wiki pour la création et l'entretien collectif de sites Internet. Les pages PmWiki ont le même aspect et fonctionnent comme des pages Internet ordinaires, sauf qu'elles possèdent un lien "éditer" qui permet de modifier ou d'ajouter facilement des pages à un site, en utilisant les règles d'édition de base. Vous n'avez pas besoin de connaître le langage HTML ou les CSS. L'édition des pages peut être laissée ouverte à tout public ou restreinte à un petit groupe d'auteurs.
- Un des principes de la Philosophie de PmWiki est d'inclure uniquement les fonctions essentielles au noyau du système. Les administrateurs peuvent aisément personnaliser PmWiki et ajouter de nouvelles balises. Des centaines de fonctions peuvent être installées en utilisant des extensions (appelées "recettes") qui sont disponibles depuis le "Cookbook".
- PmWiki est écrit dans le langage PHP, n'utilise pas de base de données externes (mais des fichiers textes) et est distribué suivant la license GPL. Il est conçu pour être simple à installer, modifier, et entretenir pour nombre d'usages différents.
- PmWiki permet de faire fonctionner plusieurs Wikis indépendants sur une seule installation ("Fermes Wiki").
- L'administrateur d'un site peut rapidement modifier l'aspect et les fonctions d'un site PmWiki en utilisant des thèmes différents et des modèles HTML. Si aucun thème existant parmi plus d'une douzaine qui existe ne vous convient, vous pouvez aisément en modifier ou en créer un.
- PmWiki est conçu pour pouvoir être mis à jour facilement sans affecter vos données existantes ni votre configuration.
- Une protection de PmWiki par mot de passe peut être appliquée à un site entier, à des groupes de pages, ou à des pages individuelles. La protection par mot de passe contrôle qui peut lire les pages, qui peut les éditer et qui peut mettre en ligne des fichiers attachés. Le système d'accès est intégré à PmWiki mais il peut aussi fonctionner en conjonction avec des bases de mots de passe existantes, telles que .htaccess, un serveur LDAP, ou une base de donnée MySQL.
- Les Fermes Wiki sont un mécanisme destiné à faire tourner plusieurs Wikis indépendants sur une seule installation PmWiki. Si une ferme Wiki est une collection de Wikis indépendants, alors chaque Wiki dans la ferme est usuellement appelé un champ Wiki. Une personne qui supervise l'installation du moteur PmWiki est appelé un administrateur de ferme, alors que les administrateurs de chaque champ sont les administrateurs de champ. Chaque champ peut avoir sa propre URL, son ensemble de pages et de groupes Wiki, et une configuration locale spécifique : téléchargement, modèles de page, mots de passe, etc.
- Une fonction agréable à utiliser est la mise en place d'images : contrairement à d'autres wiki ou CMS, on n'est pas obligé de télécharger les images avant de les placer : on positionne une balise à l'endroit où on veut voir apparaitre l'image, et cette balise devient automatiquement un lien vers un dialogue de téléchargement de fichier.
Une utilisation principalement comme bloc-note et mémo technique électronique pour alimenter nos idées "brouillons" exhaustivement dans le cadre de nos activités et de nos travaux.
Je l’ai adopté pour sa simplicité d’installation et de configuration (pas de base de données) ainsi que pour sa facilité d'utilisation dans la publication et l'organisation des pages wiki.
Redmine est un gestionnaire de projets web écrit en Ruby. Redmine était considéré initialement comme "le petit frère" de Trac. Cette comparaison est désormais réductrice. Les fonctionnalités et l'interface s'inspirent de celles de Trac, mais de manière plus conviviale. Beaucoup de fonctionnalités sont natives là où Trac demande l'installation de plugins. Parmi les fonctionnalités existantes, on trouve:
-
La gestion de plusieurs projets paramétrables
Les projets peuvent être privés ou publics notamment. Le statut d'un projet reste très simple : soit actif, soit archivé.
Il est possible de créer depuis la version 0.9 des sous-projets de n'importe quel projet (donc des sous-sous projets) !
Il est possible de copier un projet et donc de faire des templates de projets. -
La gestion des utilisateurs
Un utilisateur peut appartenir à un ou plusieurs projets. À chaque utilisateur sera associé un - ou plusieurs - rôle(s) par projet, les rôles définissant les permissions accordées aux utilisateurs dans un projet. Ainsi, un utilisateur peut avoir des rôles différents selon le projet. Les rôles sont communs à tous les projets et sont très modulables.
Il est désormais possible de créer des groupes d'utilisateurs et donner les mêmes permissions à tous les utilisateurs dans un projet.
un utilisateur peut créer un projet sans avoir les droits d'administrateur. -
La gestion de documents
Les documents sont associés à un projet et peuvent être classés en catégories que l'administrateur de Redmine définit. Un système de filtre, très bien fait, permet de classer par propriétaire, titre, date ou catégorie. -
La gestion de demandes
Le manageur d'un projet choisit les types de demandes (tracker) qui seront disponibles dans le projet. Les demandes pourront être assignées à un membre du projet. Depuis la version 1.3.0 on peut (enfin !) assigner des demandes à un groupe de personnes.
Il est possible d'associer des "Watchers" aux tâches, c'est-à-dire des personnes qui seront nécessairement averties par mail du déroulement de la tâche. Depuis la version 1.2.0 on peut créer des tâches privées au sein d'un projet ; ces tâches ne sont alors pas visibles de tous les membres du projet.
Les demandes peuvent être déplacées dans un autre projet, pratique si l'on veut réorganiser la structure. -
Les priorités paramétrables d'une demande
L'administrateur définit les priorités possibles des demandes (urgent, normal...). -
Un historique
Pour les demandes et le wiki on peut suivre toutes les mises à jour, la personne qui les a faites, ainsi que la date. -
La modulation fine des statuts et la gestion des transitions de statuts par rôle
Chaque demande peut évoluer avec un statut différent (nouveau, en cours, fermé...). Pour chaque rôle, on peut définir pour les différents types de demande, les transitions des statuts, c'est-à-dire les états possibles du statut futur en fonction du statut actuel. -
L'ajout de champs personnalisés
Redmine permet de personnaliser les informations que l'on veut avoir pour les projets, utilisateurs, demandes, temps passé, utilisateurs, groupes, etc.
Depuis la version 0.9, les utilisateurs peuvent modifier eux-mêmes les champs personnalisés associés à leur compte. -
La gestion du temps
Début, fin estimée, pourcentage de réalisation et possibilité d'ajouter des champs personnalisés. -
La notification par mail ou par flux RSS
Pour suivre l'évolution d'une demande ou d'un projet (le flux RSS suit la norme ATOM).
- L'utilisateur choisit la langue de l'interface (26 langues).
- On peut choisir le mode de validation de nouveaux comptes.
- Identification possible via LDAP.
- Possibilité de personnaliser sa page d'accueil.
- Possibilité de changer l'aspect de Redmine :
On peut trouver des thèmes sur internet, mais il est possible de créer ses propres thèmes (css) - Page résumé des projets :
Une vue synthétique du nombre de demandes ouvertes, fermées, les membres et leurs rôles est proposée - Créer des rapports récapitulatifs.
-
Un système de filtre performant.
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L'administration se fait pratiquement entièrement par une interface web de façon simple.
- Les demandes peuvent être éventuellement liées entre elles, au travers de différents projets.
- Un graphe de Gantt, un wiki, un calendrier, un/des forum(s) de discussion peuvent être ajoutés par projet.
- Gestion des différentes versions des documents.
- Lien natif avec un gestionnaire de versions (SVN, CVS, Darcs, Mercurial, Bazaar, Git).
L'installation du logiciel est très simple et assez rapide (pour un informaticien). Le logiciel fonctionne à partir d'un serveur Ruby mais on peut créer dans Apache une Virtual Host. On peut faire tourner plusieurs instances de Redmine parallèlement en changeant de port.
La migration du logiciel vers une nouvelle version est prévue et simple.
Ici un article complet présentant Redmine et le comparant à Trac.
Redmine accepte tout type de documents (pdf, txt, png, doc...) et permet d'exporter les informations au format PDF ou CSV.
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Ce logiciel est utilisé sur la plateforme transcriptome de Montpellier GenomiX et sur la Plateforme Protéomique Fonctionnelle de Montpellier. Il permet de gérer les projets collaboratifs avec les utilisateurs des plateformes ainsi que les projets internes des deux équipes. Notamment les deux plateformes sont engagées dans une démarche qualité ISO9001 et Redmine aide à répondre en plusieurs points aux exigences de la norme. Essayer Redmine a été l'adopter.
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Il est également utilisé à l'Institut de Génétique Humaine pour la gestion de projets collaboratifs de biologie et d'informatique.
- On peut ajouter facilement des nouveaux champs pour les demandes, mais il est difficile de retirer ceux définis par défaut.
- Il n'y a qu'un niveau de hiérarchie dans les tâches.
- Une gestion plus fine de la partie Documents seraient appréciée.
- L'ajout des champs personnalisés pour les projets est commun à tous les projets du côté administration.
Wine est une implémentation Open Source de l'API Windows comme sur-couche à X11, OpenGL, et Unix.
Wine peut être vu comme une sur-couche de compatibilité pour exécuter des programmes Windows sous Unix. C'est une implémentation entièrement libre de l'API Windows consistant en un code alternatif 100% non-Microsoft. Toutefois, Wine peut utiliser optionnellement des DLLs Windows natives quand elles sont disponibles.
Wine fournit à la fois une boite à outils de développement pour porter du code source Windows vers Unix en même temps qu'un chargeur de programmes, permettant à de nombreux programmes exécutables Windows non modifiés de tourner sur des Unix basés sur les processeurs x86 incluant Linux, FreeBSD, Mac OS X et Solaris.
Il y a 2 contextes d'utilisation principaux :
- Le développement de programmes Windows sous Linux.
- L'utilisation d'applications Windows sous Linux.
Le site Wine Application Database (AppDB) maintient une base de données d'applications qui ont été testées sous Wine.
- Top-10 Platinum List : la liste des 10 meilleures applications pour l'installation et l'exécution sans problème sous Wine.
- Top-10 Gold List : la liste des 10 meilleures applications pour l'exécution sans problème sous Wine mais avec une configuration spéciale.
- Top-10 Silver List : la liste des 10 meilleures applications pour l'exécution sans problème majeur.
Voici quelques-unes d'entre elles dont les tests sont assez positifs :
Ces applications sont classées comme "Platinum", "Gold", "Silver", "Bronze" selon qu'elles fonctionnent plus ou moins correctement (respectivement correctement, correctement mais sous certaines configurations, avec quelques bugs mineurs, avec des bugs plus importants, ...).
Personnellement, j'ai déjà testé ou utilisé Kaléidagraph, Macromedia Dreamweaver, d'autres applications ou utilitaires : en général, les résultats varient en fonction de la version du logiciel, de la version de Wine, de la distribution Linux utilisée, ...
Du fait que Microsoft utilise pour développer ses applications des bibliothèques non documentées, très peu d'applications Microsoft fonctionnent sous Wine. Par contre, la plupart des logiciels libres développés pour Windows peuvent tourner sous Wine ainsi que beaucoup d'applications commerciales d'éditeurs indépendant (Borland, Adobe, Corel, ...), les applications Microsoft d'origine comme Internet Explorer sont petit à petit implémentées sous Wine par ses développeurs.
JRES 2007 : articles et vidéos
Cette fiche recense les conférences et les posters proposés lors des Journées Réseaux JRES qui se sont déroulées du 20 au 23 Novembre 2007 au palais de la musique et des congrès de Strasbourg. Ces informations sont aussi disponibles sous forme de programme sur le serveur de ces journées.
Réseaux:
- Comment gérer un réseau "optique" privé : l'expérience de LCG par Mathieu Goutelle et Guillaume Cessieux
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/26.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/26.mp4 - Utilisation haut débit des nouvelles infrastructures réseaux de la recherche par Jerome Bernier
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/63.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/63.mp4 - ConfIn : une gestion centralisée de niveau 3 pour une plaque régionale par Olivier Lacroix
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/85.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/85.mp4 - Raccordement à Internet des logements étudiants au CROUS de LIMOGES - Utilisation de technologies alternatives (CPL, CATV, ADSL...) par Laurent Viarouge
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/148.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/148.mp4 - Réseaux Universitaires et Collectivités par Jean Marie Imhoff, Remy Card et Didier Lefebvre
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/48.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/48.mp4 - New Network Architecture versus Business Decision Makers ! par Patrick Grossetête et Faycal Hadj
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/96.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/96.mp4 - iSup - Développement d'une plate-forme de supervision complète et homogène pour les réseaux Lorrains par Sébastien Morosi et Vincent Delove
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/69.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/69.mp4 - PerfSONAR - Supervision réseau multi-domaines par Nicolas Simar et Frédéric Loui
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/135.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/135.mp4 - netMAT : network's MATrix, la matrice de flux des réseaux par Karol Proch, Sébastien Morosi et Alexandre Simon
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/103.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/103.mp4 - RENATER 5 par Franck Simon
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/155.mp4 - OSAE : Automatisation de la sécurité sur REAUMUR par Grégoire Moreau et Laurent Facq
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/106.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/106.mp4 - Mise en œuvre de la « fast-convergence » dans le réseau RENATER et adaptations pour les réseaux de collecte et réseaux de campus par Franck Simon et Florence Picard
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/74.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/74.mp4 - Multihome BGP sur REVE - Retour d'expérience par Jehan Procaccia, Claude Scarpelli, Guy Orrado et Eric Doutreleau
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/101.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/101.mp4 - Configuration de la QoS sur un réseau de campus par Didier Benza
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/144.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/144.mp4 - Expérimentation de service Triple Play sur un réseau optique passif par Mounir Sarni, Nicolas Clementz et Pascal Lorenz
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/113.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/113.mp4 - Déploiement d'infrastructures DWDM : retour d'expérience de RENATER par Emilie Camisard
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/72.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/72.mp4 - Klask : un outil dédié à la cartographie du réseau local
Poster: http://2007.jres.org/planning/slides/61.pdf
Article: http://2007.jres.org/planning/pdf/61.pdf - Un serveur de passerelles unicast/multicast, IPv4/IPv6
Poster: http://2007.jres.org/planning/slides/73.pdf
Article: http://2007.jres.org/planning/pdf/73.pdf - Accéder à son réseau local depuis un réseau sans-fil de 400 bornes
Poster: http://2007.jres.org/planning/slides/108.pdf
Article: http://2007.jres.org/planning/pdf/108.pdf - Dynamips : Un émulateur de routeur CISCO sur PC
Poster: http://2007.jres.org/planning/slides/141.pdf
Article: http://2007.jres.org/planning/pdf/141.pdf - EARNEST : constats, recommandations par Jean-Paul Le Guigner
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/159.mp4
Administration Système :
- Retour d'expérience sur le choix d'une solution anti-spam au LAPP par Sylvain Garrigues et Muriel Gougerot
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/143.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/143.mp4 - LimeSurvey par la pratique par Thibault Le Meur
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/47.mp4 - Zimbra, Samba, LDAP : un exchange à la sauce open-source par Marc Chanove, François Bouhet et Jean Louis Mas
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/120.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/120.mp4 - RRDtool Tips & Tricks par Tobias Oetiker
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/slides/136.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/136.mp4 - Méthode d'installation automatisée de Windows (mode « unattended ») par Maurice Libes, Xavier Nicolay et Benjamin Gabaud
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/31.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/31.mp4 - Réinstallation de postes clients avec PXE et Partimage par Guilhem Borghesi et Christophe Boccheciampe
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/33.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/33.mp4 - Rendre son infrastructure sécuritaire par Fabrice Prigent
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/35.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/35.mp4 - Modèle d'administration automatique d'un parc Unix par Guillaume Lelaurain, Frédéric Saint-Marcel et Francois Visconte
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/110.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/110.mp4 - Installation d'une architecture VMware Infrastructure 3 : bilan et perspectives par Alexandre Mirek
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/100.pdf
lien video : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/100.mp4 - Comparatif de serveurs de gestion de contenus (CMS) par Jean Xech, Albertine Rabat et Aline Savarèse
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/104.pdf - Quarantaine et remédiation - Réalisation et utilité par Richard Timsit
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/95.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/95.mp4 - OSCAR, Outil Système Complet d'Assistance Réseau
http://www.crdp.ac-lyon.fr/oscar/ - LAZY Todo : gestionnaire de tâches en ligne
Poster: http://2007.jres.org/planning/slides/38.pdf
Article: http://2007.jres.org/planning/pdf/38.pdf - jKota : gestion des impressions
Poster: http://2007.jres.org/planning/slides/64.pdf
Article: http://2007.jres.org/planning/pdf/64.pdf - PEDILUVES : Portail d'entrée pour la Distinction des Invités par l'Usage d'une Vérification de l'Environnement Ssl
Poster: http://2007.jres.org/planning/slides/75.pdf
Article: http://2007.jres.org/planning/pdf/75.pdf - VOILÀ : un tableau de bord synthétique des incidents et travaux
Poster: http://2007.jres.org/planning/slides/116.pdf
Article: http://2007.jres.org/planning/pdf/116.pdf - Le poinçonneur de ticket
Poster: http://2007.jres.org/planning/slides/117.pdf - Et si l'infrastructure ENT servait à gérer le nomadisme ! par Patrick Petit, Philippe Beutin et Jean-François Scariot
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/52.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/52.mp4
Système d'Information, organisation :
- Le Système d'Information dans un laboratoire de recherche - Guide de spécification des services par Joëlle Prévost, Alain Rivet, Françoise Berthoud, Jean-Luc Archimbaud, Marc Chanove, Maurice Libes, Nadine Neyroud et Thierry Dostes
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/65.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/65.mp4 - Ouverture de la conférence : "Savoir vivre avec le Système d'information" par Michel Volle
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/162.mp4 - Nouvelles règles, nouveaux enjeux pour les informaticiens dans les organisations ou le mariage de la carpe et du lapin par Brigitte Sor, Yves Condemine et Daniel Marre
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/118.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/118.mp4 - UFR : du SI autonome à l'intégration dans le SI Université. Histoire et déboires par Gérard Milhaud, Dimitri Robert, Frédéric Bloise et Dominique Lalot
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/147.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/147.mp4 - Collaboration avec des projets libres - enjeux, difficultés et bonnes pratiques par Olivier Berger, Vu Dang Quang et Christian Bac
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/91.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/91.mp4 - La généralisation des usages de TIC dans l'éducation : un engagement fort du ministère, un défi à relever par les équipes informatique et réseau des établissements par Catherine Fabreguettes
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/133.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/133.mp4 - Normes de qualité et systèmes d'information par Alain Rivet
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/30.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/30.mp4 - Internet entre réglementation et gouvernance : quelles évolutions pour les administrateurs et les utilisateurs des réseaux académiques ? par Meryem Marzouki
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/164.mp4 - Le développement de la protection des données personnelles dans le monde et les enjeux d'aujourd'hui par Marie Georges
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/137.mp4 - Equipes informatiques : doit-on repenser nos métiers, nos pratiques et nos organisations ? par Jean-Luc Parouty
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/129.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/129.mp4 - La généralisation des usages de TIC dans l'éducation : un engagement fort du ministère, un défi à relever par les équipes informatique et réseau des établissements par Catherine Fabreguettes
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/133.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/133.mp4
Fédération/mutualisation, gestion des identités :
- Comment, pour une administration, assurer la mutualisation d'une application informatique ? par Thierry Aimé
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/130.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/130.mp4 - YaCaP - Yet an other Captive Portal : Un portail captif mutualisé pour les Universités et établissements lorrains par Alexandre Simon, Loic Barreau et Sébastien Morosi
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/70.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/70.mp4 - Solution de stockage répartie sur les centres de recherche INRIA à base de serveurs de fichiers de type NAS par Laurent Mirtain et Jean-Luc Szpyrka
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/139.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/139.mp4 - Mutualisation d'un service d'accès à distance sécurisé VPN par Laurence Moindrot et Jean Benoit
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/94.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/94.mp4 - Mutualisation des ressources de calcul parallèle à l'Université Louis Pasteur : un bilan par Romaric David
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/17.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/17.mp4 - GRID'5000 une plate-forme d'expérimentation pour les systèmes distribués à large échelle par Emmanuel Jeannot et Philippe d'Anfray
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/62.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/62.mp4 - e-Catalunya: a social network platform par Rosa-María Martín, Josep Casanovas, Héctor Puente, Daniel Golobart, Daniel Cortés, Lucas Ponce
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/18.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/18.mp4 - Projet Décrypthon
Poster: http://2007.jres.org/planning/slides/102.pdf
Article: http://2007.jres.org/planning/pdf/102.pdf - esup-commons : un framework de développement pour le projet ESUP-Portail par Pascal Aubry
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/97.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/97.mp4 - Projet AffDist : Accès aux applications distantes depuis un ENT
Poster: http://2007.jres.org/planning/slides/111.pdf
Article: http://2007.jres.org/planning/pdf/111.pdf - Implémentation de géoportail en environnement ouvert pour la communauté des sciences de l'homme et de la société
Poster: http://2007.jres.org/planning/slides/121.pdf
Article: http://2007.jres.org/planning/pdf/121.pdf - La gestion des identités à l'Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne par Claude Lecommandeur
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/66.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/66.mp4
- Gestion d'identité avec OpenID par Stéphane Bortzmeyer
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/13.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/13.mp4 - Extensions à OpenSSO : compatibilité et gestion des autorisations par Philippe Beutin, Gérard Forestier, Le-Quyen La, Thi-Hue Nguyen et Thierry Agueda
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/53.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/53.mp4 - La démarche d'intégration de Shibboleth dans un service en ligne ou une application web par Florent Guilleux et Olivier Salaün
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/105.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/105.mp4 - Architectures de fédération d'identités et interopérabilité par Mikaël Ates, Jacques Fayolle et Bruno Sauviac
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/79.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/79.mp4 - Gestion d'identités pour les utilisateurs en marge de la fédération du CRU - Le service d'authentification du CRU
Poster: http://2007.jres.org/planning/slides/19.pdf
Artice: http://2007.jres.org/planning/pdf/19.pdf - Des identifiants pérennes pour les ressources numériques par Emmanuelle Bermès
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/163.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/163.mp4
Référencement, Indexation :
- L'archive ouverte HAL par Daniel Charnay et Christian Michau
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/44.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/44.mp4 - ORI-OAI - Outil de Référencement et d'Indexation pour un réseau de portails OAI par Yohan Colmant, Raymond Bourges et François Jannin
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/45.pdf
lien video : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/45.mp4 - PAC - La plate-forme d'archivage pérenne de documents électroniques au CINES par Olivier Rouchon
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/46.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/46.mp4 - InriaGforge : leçons de 2 ans d'exploitation de Gforge à l'Inria par David Margery, Janet Bertot, Christophe Demarey et Claude Inglebert
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/145.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/145.mp4 - Le projet PLUME par Jean-Luc Archimbaud
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/83.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/83.mp4 - PAC - La plate-forme d'archivage pérenne de documents électroniques au CINES par Olivier Rouchon
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/46.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/46.mp4
Formation à distance :
- Système automatique de génération et de diffusion de cours et de conférences multimédias multilingues par Gilbert Sol et Olivier Poursac
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/67.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/67.mp4 - Diffusion en direct et en différé de vidéos de cours : architecture et intégration dans ESUP Portail par Philippe Alves, Mohamed Benakli, Christian Cousquer, Yves Epelboin, Thierry Koscielniak et Agnès Pruvost
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/23.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/23.mp4
Téléphonie et communication :
- Retour d'expérience sur la ToIP et la messagerie instantanée par Philippe Sultan et Joiret Denis
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/82.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/82.mp4 - Migration vers la téléphonie sur IP par Sébastien Vautherot
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/124.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/124.mp4 - SIP Communicator - Un outil open source de communication sur IP adapté à nos laboratoires et à nos universités. par Emil Ivov et Jean-Marc Muller
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/132.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/132.mp4 - Présentation du service de pont de visioconférence opéré par l'IN2P3
Poster: http://2007.jres.org/planning/slides/149.pdf
Article: http://2007.jres.org/planning/pdf/149.pdf
Technologies et Protocoles :
- Développement de protocoles à l'IETF par Stéphane Bortzmeyer
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/12.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/12.mp4 - Mise en œuvre de la technologie RFID par Christian Perrot
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/146.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/146.mp4 - iSCSI : de l'expérimentation à la mise en production
Poster: http://2007.jres.org/planning/slides/9.pdf
Article: http://2007.jres.org/planning/pdf/9.pdf - Système en haute disponibilité sous Linux : SAN (Storage Area Network), Cluster Suite et Global File System
Poster: http://2007.jres.org/planning/slides/90.pdf
Article: http://2007.jres.org/planning/pdf/90.pdf
Autres :
- Plate-forme de travail collaboratif PicoForge
Poster: http://2007.jres.org/planning/slides/51.pdf
Article: http://2007.jres.org/planning/pdf/51.pdf - Présentation Google Apps pour l'éducation par Laurent Guiraud et Samantha Peter
lien video : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/158.mp4 - Comment se diriger vers une informatique durable ? par Françoise Berthoud , Jean-Luc Pons, Eric Drezet et Violaine Louvet
lien pdf : http://2007.jres.org/planning/pdf/39.pdf
lien vidéo : rtsp://videos-jres.u-strasbg.fr/2007/hr/39.mp4
Notes conférence Paris Capitale du Libre 2008
Dernière mise à jour : 4/10/2008
Une version PDF de ce document (mais un peu plus ancienne) est disponible.
Ces notes peuvent être
inexactes, incomplètes et refléter les centres
d'intérêts d'un informaticien du CNRS. Elles
retranscrivent des informations ou avis des orateurs prisent au fil
de l'eau donc avec des redites, des digressions... N'hésitez
pas à me signaler toute erreur :
Jean-Luc [dot] Archimbaud [at] urec [dot] cnrs [dot] fr
.
Le site de
l'événement : http://www.paris-libre.org/
Les photos de l'événement : http://www.flickr.com/photos/linagora/
L'événement est organisé
par la FniLL, Fédération nationale de l'industrie du
Logiciel Libre. Il s'est déroulé à
la maison internationale (cité internationale) de Paris les 24
et 25 septembre 2008 avec une session principale, 2 sessions off en
parallèle, une cinquantaine d'exposants. Ces notes concernent
uniquement la session principale.
Les intervenants (50 dont 20 étrangers) étaient de très
haut niveau, majoritairement des chefs d'entreprise qui fournissent
de l'Open Source ou des responsables de services R&D d'origines
diverses avec une large ouverture vers les USA et l'Europe.
Les sessions principales étaient
en français ou en anglais (casque avec traduction simultanée
disponible). Le programme était diffusé en anglais.
Elles ont consisté principalement en des tours de table, sans
support projeté avec comme modérateur un journaliste de
la presse informatique.
Il y a eu 3000 visiteurs inscrits.
Le public était constitué principalement
de responsables d'entreprises d'Open Source, de DSI ou responsables
de services Open Source de grands groupes et de quelques
administrations, pas de « geek ». Dans la
session principale, il y avait entre 50 et 200 personnes dans
l'assistance selon les heures.
Terme privilégié et très
majoritairement utilisé dans la conférence : « Open
Source ». Néanmoins dans ces notes LL est le plus
souvent utilisé, car court et OS a une autre signification
dans notre métier.
Remarque pour la
communauté Enseignement Supérieur – Recherche : les
organismes de recherche, universités et le MESR n'étaient
pas présents dans la table ronde sur l'Open Source dans
l'administration et n'ont jamais été cités comme
exemple dans les exposés. Néanmoins, présence de
:
-
OW2
(http://www.ow2.org/) : stand et
intervenant
-
2
écoles : ITIN (http://www.itin.fr)
et EPITECH (http://www.epitech.eu/v4/)
avec un stand -
Un stand pour
le logiciel Scenari (http://scenari-platform.org/)
de l'Université de Compiègne -
2
projets nominés pour les lutèces d'or : le CD de
logiciels libres pour les étudiants de l'université de
Versailles – St-Quentin (http://libre.uvsq.fr/)
et le projet PLUME (http://www.projet-plume.org) -
Et peut-être
d'autres..
Mercredi 24 septembre 2008
Ouverture du forum
Alexandre Zapolsky président de
la FniLL (Fédération Nationale des Industries du
Logiciel Libre), CEO Linagora
- FNILL organisateur
- 3ième édition de
l'événement - Soutiens dans la sphère publique
: Mairie de Paris, Ministère de l'Economie et des Finances et
Sénat - Nombreux soutiens d'entreprises : 59 organisations partenaires
- Objectif de l'année prochaine :
événement international : World Open Source Forum (WOS Forum)
Le logiciel libre : où en est la France ?
La France fut l’un des pionniers
en Europe de l’utilisation du logiciel libre ainsi que de sa
promotion. Les premières initiatives gouvernementales ont eu
lieu dès le début des années 2000, avec le
gouvernement Jospin, puis les gouvernements successifs, Raffarin et
Villepin ont chacun à leur manière soutenu le
développement du marché du logiciel libre.
Y-a-t'il
en France une volonté d’une politique industrielle en faveur
du logiciel libre?
Quelles sont les positions du gouvernement
français face au développement de cette nouvelle
économie? Où en est le RGI? Comment faire en sorte
que la France reste dans la compétition mondiale ?
Animateur : Bertrand
Lemaire, rédacteur en chef, CIO-onLine
Président :
Benoît Sibaud, Président, April
Intervenants : Yvon
Rastetter – écrivain, Jean-Pierre Corniou - Directeur
général Adjoint SIA Conseil, David Jonglez - Directeur
Camp To Camp, Fabien Potencier - PDG Sensio créateur de
Symfony
Un article est paru récemment
aux USA titré « Ce que la France peut enseigner aux
US en matière de logiciel libre ».La France est pionnière mais
attend le RGI (c'est un des rares moments où celui-ci a été
cité). Naissance de l'Open Source il y a 25
ans aux USA, en France depuis 12 ans. L'APRIL a publié un livre blanc
sur le secteur économique du LL en France.
Caractéristiques de la France :
-
Secteur associatif très
important -
De plus en plus de création
de services logiciel libre dans les DSI -
Certains ministères
basculent vers le LL donc poussée du secteur public -
Des enseignements spécialisés
sur le LL -
Le grand public connaît.
PME-TPE
-
Phase en cours : arrivée
des applications métiers et PGI (les équivalents
commerciaux très lourds et chers donc avantage à
l'Open Source) -
Problème de ces entreprises
: multiples petites entités indépendantes donc besoin
de mutualisation (des expressions de besoins, développements...).
2 exemples : les multiples logiciels pour médecins libéraux,
développées par de très petites structures ont
été une catastrophe (pour les entreprises et les
clients). Un regroupement de 11 sociétés
agro-alimentaires du Sud-Ouest pour faire développer un PGI
libre est un exemple à suivre. Mais ce n'est pas gagné. -
Processus lent de migration vers
le LL : il faut maintenir un existant qui doit continuer à tourner (on ne peut pas faire table rase) et il n'y a généralement pas de
compétence en LL.
Grands comptes
-
Le libre grignote des parts de
marché -
Le libre « clandestin »
reste. Les DSI ont du mal à afficher une politique dans ce
domaine -
La compétition
internationale et la compétitivité du SI imposent une
baisse des coûts donc le LL -
Existant installé non libre
très important et très lourd : obligation de le
garder. Dans une DSI les applications ont un âge de 8 ans en
moyenne -
Le libre va entrer dans des
projets lourds -
Applications métier :
beaucoup trop de micro-éditeurs en LL peu fiables. Il faut de
plus grosses entités.
Exemple de domaine : géomatique
-
Domaine de l'informatique
appliquée à la géographie, beaucoup utilisé
par les ministères tels que l'agriculture et d'autres -
Depuis longtemps basé sur
les LL -
Organisation mise en place :
association similaire à Apache -
Veiller à ce que l'esprit
libre reste.
Exemple de produit : société
Sensio
-
Produit le framework Web Symfony
-
PME, 50 personnes, très
petite mais force de frappe importante grâce aux contributeurs.
APRIL et ses constats
-
2400 membres individuels pour la
plupart qui ont « l'esprit libre » -
Il y a toujours des développeurs
passionnés -
Pour réussir un produit, il
faut faire vivre la communauté, répondre aux
questions, diffuser de la documentation... -
Un produit doit faire de la
communication pour être connu... mais dans le LL les
meilleures solutions restent ce qui n'est pas le cas des produits
propriétaires -
Parmi les nouveaux produits qui
sortent (même commerciaux), beaucoup de récupération
de briques existantes LL -
Un logiciel Open Source est créé
car il y a un besoin, donc il répond de fait à un
besoin.
Divers
-
La France a des atouts dans le
libre : en informatique elle a perdu le hardware, les « gros
logiciels », elle peut jouer un rôle au niveau
mondial dans le libre. Elle doit créer une vraie industrie
basée sur les LL avec rémunération des
différents acteurs -
DSI : pas d'idéologie à
avoir pour choisir entre un ERP libre et SAP : c'est un choix
suivant les besoins, les compétences et l'existant -
Attention aux modèles
économiques de produits libres repris par les grands groupes
de l'informatique : dérives possibles -
Pour créer une communauté
: il faut un réel savoir-faire à compléter par
une démarche commerciale et marketing. Google par exemple,
sous une apparence de gratuité complète, a une
démarche très marketing. -
Grande réticence des
banquiers à financer des sociétés LL : ne
connaissent pas, pas de produit à montrer (souvent support,
service uniquement) -
Certains gros acteurs (banques...)
utilisent les LL mais ne le disent pas -
Dans les appels d'offre, pour
avoir des réponses Open Source : imposer les formats ouverts
et l'accès au code source -
La musique suit un parcours
similaire au logiciel. L'orientation est : musique gratuite (code
gratuit) et concerts payants (services payant)
Quoi de neuf dans le monde de l’Open Source ?
Tout le monde est conscient de la
fracture numérique entre les pays riches et les pays en
développement. Pour beaucoup il apparaît extrêmement
difficile à ces pays de revenir dans la compétition
économique mondiale en jouant avec les règles du jeu du
logiciel traditionnel. L’une des opportunités consiste,
comme pour certains pays d’Asie, à tirer partie du
développement de l’informatique libre pour développer
une économie numérique puissante. Comment le logiciel
libre peut-il permettre de réduire cette fracture numérique
et cette fracture économique ? Quels sont les exemples de
réussite ? Que faut-il faire pour généraliser
ces réussites ?
Animateur : Jean Rognetta - Journaliste
Les Echos
Président : Tristan Nitot -
Président Mozilla Europe
Intervenants : Sander Striker - Vice
Président Apache Foundation, Ross Turk - Community Manager
Sourceforge, Emma McGrattan - Vice President Ingres, Cyrille Béraud
- PDG Savoir-Faire Linux
Mozilla et l'arrivée de Chrome
-
Cette arrivée relance
l'innovation (IE est très mauvais donc pas de concurrence) -
C'est une stratégie normale
pour google qui est limité par les fonctions d'IE dans son
déploiement de nouveaux services : il lui faut maîtriser
aussi le navigateur -
Google ne veut pas tuer Mozilla
mais Microsoft -
Google finance Mozilla à 80
% pour 3 ans encore
L'Open Source est maintenant bien
présent dans les logiciels généraux et dans tout
ce qui est innovant. Nouvelles tendances :
-
La virtualisation
-
Le très facile à
utiliser-installer : focalisation sur l'utilisateur et la simplicité -
S'impose dans les logiciels
embarqués (pas d'existant donc terrain vierge) -
La sophistication est dans des
add-on, extensions : 500 dans Firefox. Cela permet d'intégrer
de nombreux développements et fonctionnalités sans
charger l'interface utilisateur standard -
Besoin d'assurance des entreprises
sur le long terme
Fracture sociale et open source
Les avis divergent pour savoir si c'est
un plus (à cause de la gratuité, la facilité
d'utilisation) ou un moins (demande des compétences pour
installer...)
Crise économique
Pas vraiment un avantage pour le LL :
le coût bas est un plus mais les contributeurs sont souvent
employés dans des sociétés qui vont subir la
crise
Divers
-
Les OS sur les plates-formes qui
peuvent évoluer : pas un problème pour les LL qui
tournent généralement sous tous les OS (60 % sous
Windows) -
WebOS avec Google : n'est pas
encore présent et toujours plus de chargements (de logiciels)
sur source-forge -
L'utilisateur n'aime pas changer
ses habitudes sur son poste de travail : ainsi Ubuntu a des
difficultés à s'imposer
Etats-Unis : le logiciel libre, roi de l’économie
numérique ?
L’économie du logiciel est
en train de complètement évoluer. Plus aucune start-up
ne se finance sans baser son innovation sur un modèle Open
Source. Déjà, de grandes success stories ont eu lieu.
Sun a racheté MySQL pour près d’un milliard de
dollars ! Citrix a racheté Xen pour 500 millions de dollars !
Alors, l’Open Source est-il en train de devenir le meilleur moyen
de créer de la richesse aux Etats-Unis? Doit-on, pour réussir
à vendre ses logiciels, passer par un modèle de
diffusion Open Sourc ? Comment réagissent les grands acteurs
de ce marché? Pourquoi un tel engouement?
Animateur : Dominique Piotet - CEO
Atelier BNP Paribas à San Francisco
Président : Bdale Garbee -
Responsable de la Stratégie Open Source HP
Intervenants : Andrew Aitken - CEO
Olliance organisateur de l’Open Source Think Tank, Mark Radcliff -
Avocat DLA Piper expert, Ismael Ghalimi - CEO Intellio, Nick Halsey -
Jaspersoft
Spécificités Etats-Unis /
Europe
-
A l'origine de l'Open Source
-
Nombreuses fondations Open Source
depuis l'origine -
But commercial en premier,
l'aspect communauté est plus secondaire qu'en Europe -
Les créations sont souvent
européennes et les bénéfices (succès
commerciaux) américains. Exemple : MySQL origine Scandinavie. -
Plus facile d'avoir des
financements (capitaux à risque) -
Les investisseurs connaissent
maintenant l'Open Source et pour financer ils veulent des précisions
sur les licences, le modèle économique... -
Les responsables / services avec
des intitulés 'Open Source' sont courants dans les
entreprises -
Des chiffres sur l'expansion,
participants très évasifs : difficile de mesurer.
Qui achète ou utilise l'Open
Source ?
-
Toutes les entreprises
-
7-8 entreprises majeures dans
l'Open Source, à dominance dans le domaine des applications -
De plus en plus de middleware et
de bases de données Open Source -
Les hébergeurs utilisent
beaucoup d'Open Source -
Les universités aussi
Licences
-
Le problème des licences
(choix...) n'est pas un frein -
6 licences sont utilisées
majoritairement -
Les sociétés
regardent attentivement les licences des produits -
Les sociétés de LL
doivent avoir un « business model » et après
choisir le type de licence de leurs développements
Qu'est-ce qu'une communauté?
-
La connaissance est en dehors de
l'entreprise -
Impossible sans Internet
-
Des contributeurs très
variés en terme de localisation, âge, langue, origine :
avantage -
Les contributeurs sont différents
avec des buts différents -> avoir un bon message clair
pour faire vivre la communauté -
Pour une entreprise, il faut créer
une communauté pour aller sur le marché de l'Open
Source -
Très important : il faut
faire vivre la communauté et la maintenir, autrement les
personnes vont ailleurs
Comment fait-on de l'argent ?
-
En vendant des packages : mise à
jour, support, test – formation – documentation : donc des
activités très similaires à celles d'un éditeur
de logiciel commercial -
Exemple d'une société
qui diffuse un Open Source : sur 1000 chargements d'un logiciel sur
son site, elle compte un client -
L'expertise, c'est ce qui est
vendu : plus globalement c'est le service rendu pour aider à
utiliser le logiciel -
Plusieurs « business
models », pas un seul -
Remarque : le terme « business
model » définit la méthode pour créer
et distribuer du logiciel, à ne pas confondre avec le
modèle financier ou la valeur ajoutée -
L'Open Source dope la production
de logiciel.
L’Europe peut-elle encore gagner la bataille du
Libre?
Le marché du logiciel libre est devenu le marché
des technologies de l’information le plus dynamique au niveau
mondial. C’est un marché qui croît annuellement à
plus de 50% ! Il dépasse en croissance tous les autres marchés
(virtualisation, stockage, progiciels, conseil, …) Sur ce marché,
la situation de l’Europe fut résumée par
Viviane Reding lors des Assises du Numérique qui se sont
déroulées en France le 29 mai 2008 : « Alors que
80% de la production de LL (OSS) est d’origine Eur, la plus grande
part de la VA dans ce secteur va aux Etats-Unis. Et où sont
nos champions européens dans le Web 2.0 et les services
internet? ». Quelle place souhaite avoir l’Europe dans cette
nouvelle grande compétition mondiale? L’Europe peut-elle
encore être la championne du logiciel libre?
Animateur : Guillaume Sierres -
journaliste Journal du Net
Président : Elmar Geese -
Président Linux Verband
Intervenants : Roberto Galoppini –
Atlantica, Jean-Pierre Laisné - President Ow2, Jean-Marie
André - Senior VP Corporate Development PurpleLabs
L'Open Source est une opportunité
pour l'Europe qui a de bon atout.
Une licence libre européenne
existe : EUPL (European Union Public licence.
Projet européen pour faciliter
l'accès à toutes les forges existantes en cours.
La commission finance beaucoup le libre
dans le domaine de la recherche en particulier.
En CA, l'Open Source représente
2,5 .
Handicaps de l'Europe :
-
22 langues en Europe (dont autant
de traduction) contre une seule aux USA -
Trop d'organisations diverses
autour du libre : il faut qu'au moins elles se connaissent, il y
aura un écrémage -
Beaucoup d'organisations /
développeurs : ne pas augmenter cette tendance -
Bien rémunérer les
développeurs
Forces de l'Europe – recommandations
:
-
S'appuyer sur les standards comme
le GSM -
Les développeurs (et
beaucoup d'universités européennes en forment de très
bons) ne sont pas prêts à s'expatrier -
Il ne faut pas penser en terme de
frontière, tout doit être global : les produits... -
L'Europe doit veiller à
bien mettre des limites, faire l'arbitrage lors d'abus : quand des
sociétés présentent des produits comme libres
alors qu'ils ne le sont pas... -
La France est en tête de
l'Europe pour l'Open Source : administration, bons ingénieurs,
marché -
Une plate-forme collaborative
comme OW2 est un bon exemple pour d'autres domaines -
L'Europe n'est pas un handicap
pour monter une entreprise Open Source / USA
Remise des prix Lutéces d'or
A la mairie du 13ième arrondissement de Paris, lors d'un dîner avec 350
personnalités mondiales du logiciel libre. en présence du Ministre Eric Besson : " l'industrie du libre marche bien en France et s'exporte, l'administration l'utilise, je ne suis pas un promoteur du libre".
Prix dans 12 catégories différentes :
- Meilleure action communautaire menée : Fondation Gnome - nominés : 0W2 consortiumn, Sésamath
- Meilleure action de promotion du Libre menée : Veni Vidi Libri - nominés : Université de Versailles Saint Quentin en Yvelines, Expolibre / Apitux
- Meilleur projet d'innovation et de développement Libre réalisé : Association les Complexes, projet « La Poule ou l'oeuf » - nominés : Sensio Labs - Projet Symfony, Talend Open Studio
- Meilleur projet Libre réalisé pour une collectivité locale, un centre hospitalier : Projet Kolibri et radio Kolibri pour l'association « L'enfants @ l'hôpital » - nominés : Projet liberaccès, Mairie de Rueil Malmaison
- Meilleur projet Libre réalisé par une Administration, une collectivité publique : Météo France, projet réalisé par ATOS WORLDLINE - nominés : Projet PLUME par UREC (CNRS), Prometée « Clé en main » par LEGTA des Eméyères
- Meilleur projet Libre réalisé par une PMI-PME : Société 3 Plus, « ERP5 Express » - nominés : France 24, Sensio Labs, projet « Symfony »
- Meilleur projet Libre réalisé par un grand groupe : Xerox, projet « Codendi » - nominés : France Telecom, projet « Phenix », Orange Labs, projet Solipsis
- Meilleur projet Libre réalisé au niveau mondial (hors France) : OpenOffice.org - nominés : OpenSuse « OpenSuse build service », Lyx - The document processor
- Meilleure stratégie logiciel libre mise en oeuvre : Mairie de Rueil Malmaison - nominés : France Telecom « Phenix », Atos Origin, projet SMO
- Lutèce de la personnalité de l'année : Bdale Garbee, Responsable de la stratégie Open Source, HP, Etats-Unis
- Prix spécial du jury : Association APRIL
- Grand Prix du jury : Région Ile de France
JEUDI 25 septembre 2008
Entreprise, Logiciel Libre : « Je t’aime…
Moi aussi ! » Quelles gouvernances pour les projets libres en
entreprise?
Animateur : Yann Serra - Journaliste 01
Informatique
Président : Bruno Annick - DSI
de TDF
Intervenants : Yves de Talhouet -
Directeur General HP France, René Kraft - Directeur general
Adjoint I-CDC, Boris Auché - Responsable Offre Open Source
BULL, Frédéric Lau - Animateur Groupe de Travail CIGREF
Un poste de travail (IHM) Open Source
est difficile à promouvoir dans l'entreprise : mauvaise
perception des utilisateurs habitués à Windows
Pour l'Open Source, les entreprises ont
besoin de connaître les licences, d'avoir des compétences
techniques, une entité pour superviser les process OpenSource.
Il faut qu'elles aient une stratégie Open Source
Savoir si compétences techniques
: si pas, externaliser
Prévisions Gartner : en 2010
Open Source 22 % du marché, Open Source 75 % des nouveaux
projets
Le mythe de la gratuité LL en
entreprise n'existe plus mais est remplacé par le juste coût
: OK pour payer de vraies prestations, pas des taxes comme les
licences. Mais les entreprises doivent être attentives à
payer pour l'usage, en terme de création de valeur.
La qualité et la compétence
sont les éléments de choix d'Open Source
L'avantage de l'Open Source est de
pouvoir dépenser différemment, c'est-à-dire
vraiment ajuster avec le niveau de service que l'on veut sur
l'applicatif
Il faut être attentif aux
standards
Il faut reverser à la communauté
du libre
L'Open Source permet d'innover, de
tester, d'être inter-opérable
Introduire l'Open Source demande une
gestion du changement
Qui manipule l'Open Source ?
-
Beaucoup de stations dual boot
inconnues des DSI -
Il y a des compétences (en
logiciel libre) souvent inconnues dans les entreprises, même
chez les plus anciens. Le recul de l'âge de la retraite peut
permettre de « recycler » des informaticiens
dans l'Open Source, domaine qui peut attirer. Ce peut être
aussi une seconde chance -
Les développeurs sont
généralement attachés à un OS et
adhérents ou non à l'Open Source. Or, pour qu'il
travaillent correctement, il faut qu'ils « soient
heureux » : en tenir compte dans les choix. Avoir un
panel de développement libre ou pas permet de répartir
ces développeurs avec ce critère -
L'Open Source est un élément
de promotion sociale (développeur reconnu par la
communauté...), ce peut l'être aussi dans l'entreprise -
Dans un CV l'Open Source peut être
un plus mais pas toujours
Prestataires
-
Le choix du prestataire dépend
du contrat de service ou temps de rétablissement du service
(SLA-GTR) que l'on veut. Exemple TDF : 8 applications critiques pour
200. Mais il faut que les engagements des prestataires soient tenus -
Il y a beaucoup d'offres de
support Open Source -
Les licences duales permettent à
des sociétés de vivre -
L'accès aux correctifs de
bug est plus rapide que pour les produits propriétaires -
La relation client-prestataire
change avec l'Open Source
Divers :
-
Open Source : on apprend comment
développer à plusieurs avec de nouveaux outils -
Pour certains pays l'Open Source
est une stratégie nationale -
Les nouveaux pays émergeants
peuvent donner des leçons
Editeurs, et si vous tiriez partie de l’Open
Source?
Les modèles de développement,
de commercialisation et de distribution de l’Open Source s’imposent
peu à peu face aux modèles traditionnels. Comment les
éditeurs classiques s’adaptent-ils face à ce
phénomène? Après avoir pendant longtemps
minimisé, voir dénigré, la montée en
puissance de l’Open Source, ils sont de plus en plus nombreux à
intégrer dans leur stratégie tout ou partie de ces
nouveaux modèles. Ainsi, certains transforment leur modèle
de développement, d’autres ouvrent leur distribution et
mettent en Libre une partie de leur code source, enfin d’autres
inventent de nouvelles lignes de produits (ou les rachètent !)
complètement libres. Certains orthodoxes du Libre y voient
également une menace pour le Libre dans son ensemble, parlant
même de « baiser de la mort »…
Animateur : François Tonic -
journaliste Programmez
Président : Roger Burkhardt -
ancien DSI du NYSE et CEO d’Ingres
Intervenants : Dave McAllister -
Director Standards and Open Source, Guth Rich - VP Actuate, Aaron
Fulkerson - CEO Mindtouch, Konstantin Papaxanthis – CEO PrimeKey
Impacts de l'Open Source chez les
éditeurs
-
Il y a plus d'innovation dans
l'Open Source due au mode de production communautaire -
De nouvelles sociétés
sont apparues qui offrent des services divers autour de l'Open
Source -
Les sociétés
traditionnelles : réagissent et se remettent en cause,
intègrent et adoptent les LL, construisent des modèles
économiques hybrides
Pourquoi les clients adoptent les LL
-
Réduction des coûts
-
Innovation pilotée par les
clients
Exemples de modèles économiques
-
Distribution de versions gratuites
et d'autres payantes (avec plus de fonctionnalités ou du
support) -
Le cœur du produit gratuit, les
add-on payants -
Vente de support, de souscriptions
-
Vente de formation
-
Vente de développements
spécifiques autour d'un produit gratuit -
Vente de prestations
intellectuelles : conseils...
Pourquoi les éditeurs
adoptent-ils l'Open Source ?
-
Avoir une plus large communauté
de développeurs -
Réduire les coûts de
vente. Pour le logiciel commercial la règle admise est 1 Euro
pour produire, 2 Euros pour vendre -
Au niveau marketing, cela
court-circuite le process qui consiste à présenter le
produit au client, le laisser essayer ... En LL, une version est en
ligne disponible immédiatement sans intervention -
Permet de collaborer avec des
universités, des laboratoires de recherche, des développeurs
individuels
Comment voir la qualité d'un
logiciel Open Source :
-
Nombre de téléchargements
: non -
Nombre de contributeurs : oui
-
Qualité des contributions :
surtout
Divers
-
Problème des nombreuses
versions à gérer : il faut avoir une bonne politique
en partant du fait qu'il y a deux audiences : les développeurs
qui veulent la dernière version et les utilisateurs en
production qui veulent la version stable (avec un support éventuel)
: donc proposer 2 versions -
Responsabilité : problème
en mixant les licences (bien étudier), l'utilisation de
bibliothèques est le plus délicat -
Comment se différencier :
innover, adresser des métiers, avoir un très bon site
Web -
Avec l'Open Source un petit
éditeur peut adresser directement de grandes sociétés -
Les clients ne veulent plus payer
des licences (pour les produits propriétaires), et ne veulent
plus de changement de versions payante -
L'OS n'est pas un problème,
les produits Open Source tournent maintenant en grande majorité
sur tous les OS
Grand témoin - Bernard Benhamou, Délégué
aux usages Internet
-
Le LL est nécessaire, par
exemple pour sa transparence comme logiciel de vote -
Mais pas tout LL
-
Conférence « Internet
du futur » 5-6 octobre à Nice :
http://www.internet2008.eu/ -
Nouveaux arrivants sur Internet :
le téléphone portable comme plate-forme, les objets
(puce RFID dans tous les objets) -
Les technologies embarquées
sont basées sur des LL -
Avec l'Internet des objets de gros
risques de surveillance big brother : le citoyen doit pouvoir
désactiver les puces RFID... , il faut développer des
codes ouverts pour communiquer et pas pour contrôler-surveiller
la vie.
Le secteur public en croque pour les logiciels
libres
En Europe, le secteur public, les
administrations centrales, les collectivités, le secteur de la
santé, utilisent très largement le logiciel libre. Il
existe même des programmes spécifiques (par exemple, au
Royaume-Uni, aux Pays-Bas ou en Norvège) pour encourager
l’usage de ces logiciels. Récemment, le 11 juin 2008, lors
de l’Open Forum, la Commissaire Européenne, Neelie Kroes, a
vivement encouragé les administrations à utiliser des
logiciels libres, en estimant qu’ : " il s’agit d’une
décision intelligente ». Pour certains, le logiciel
libre répond aux enjeux stratégiques d’informatisation
du secteur public, pour d’autres, il permet de réduire les
coûts et d’augmenter l’efficacité de l’argent
public, enfin, il semble aussi que ces logiciels soient
particulièrement adaptés aux contraintes de l’achat
public. Ce qui est certain, c’est que le secteur public en «
croque » pour les logiciels libres ! Pourquoi un tel succès? Quelles en sont les raisons? Doit-on encore accompagner le
développement du Libre sur ce secteur? La compétition
entre logiciels libres et logiciels traditionnels est-elle faussée?
Animateur : Ludovic Nachury -
journaliste 01net.com
Président : Jean-Séverin
Lair - DSI Ministère de la Culture
Intervenants : Sylvie Chauvin -
Directrice Markess International, François Elie - Président
Adullact, Christophe Jeantet - Partner Secteur Public France,
Philippe Kanony - Directeur Général Adjoint LOGICA
Le libre dans une administration
Avantages : Budget - Possibilité
de personnalisation, adaptation - Gestion de parc avec les licences
plus simple - Evite la lourdeur de marchés publics
Désavantages : Demande plus de
compétences - Il faut toujours argumenter ses choix LL auprès
de sa direction
Etude réalisée cet été: 20 interviews de l'administration
centrale et 60 des administrations locales
-
Utilisez vous le LL ? : tous en
central, 85 % en local (70 % l'année passée) -
Budget LL : 10 % année
passée, 13 % cette année avec 16 % du budget en
central et 11 % en local -
Augmentation budget : prestations
externes (surtout maintenance 30 %, formation 50 %)
ADULLACT
-
Association pour diffuser et
développer des LL dans l'administration et les collectivités
territoriales -
Président : F. Elie
professeur de philosophie et élu local -
Principalement focalisée sur
les logiciels métier (exemple, la gestion de cimetières)
: les besoins sont les mêmes dans toutes les communes par
exemple -
Méthode : regrouper les
besoins, lancer un appel d'offre de développement libre -
Besoin de communautés de
clients : qui définissent les besoins, éventuellement
développent. C'est eux qui doivent reprendre du pouvoir. Mais
souvent des difficultés « psychologiques » -
Attention aux brevets logiciel
(que l'Europe distribue déjà et qui peuvent
verrouiller tout logiciel libre) et au travail non payé des
développeurs (ces producteurs sont à la base du
logiciel libre et dans la chaîne il ne faudrait pas que ce
soit les seuls à ne pas avoir de retombée financière
autrement ils arrêteront de contribuer)
Divers
-
Il faut que le privé fasse
du libre et le dise : cela facilitera l'acceptation dans
l'administration -
Attention au terme LL qui peut
être usurpé. La garantie est d'avoir une communauté
multi-acteurs sur chaque souche de logiciel pour une assurance de LL -
Le libre s'est développé
« par le bas » avec les infrastructures et 80
% de l'activité concerne le collaboratif, les portails,
l'accès Internet. La tendance actuelle est le décisionnel,
bientôt les PGI -
Pour les applications critiques il
est fait appel à des sociétés externes -
Il n'y a plus d'incitation à
passer au libre dans l'administration mais le management technique
assure le choix et certains ministères sont en avance : il
faut toujours du courage et l'implication d'une personne -
Côté marchés
publics il y a tout ce qu'il faut pour intégrer le libre dans
les réponses avec la documentation nécessaire -
Les grandes écoles et
universités françaises ont souvent une culture du
libre, mais les éditeurs propriétaires essaient
d'avoir des accords avec certaines formations (c'est ce qui s'est
produit avec les formations off shore) -
Les licences CeCILL sont-elles
utiles ? -
Pas de problème juridique
pour utiliser les ASP (Application Service Provider) sauf les
archives qui doivent rester « à la maison »
Grand témoin - Larry Augustin, VA Linux
Founder, Open Source Idol
3 éléments montrent la poussée de l'Open
Source :
-
Augmentation des investissements dans ce domaine
-
Augmentation de l'adoption :
Selon Gartner 13 %
en 2007, 21 % en 2010
En 2012, 80 % des produits contiendront de
l'Open Source - L'Open Source est de meilleure qualité de le logiciel propriétaire. Exemple de chiffres :
Les défauts par
KLOC (milliers de lignes de code) : Linux 0,1 et les autres Unix (propriétaires) 0,5
Les
« function failures » dans le code : Deux fois plus sous SunOS et Windows que sous
Linux
Le temps de corrections des bugs : en moyenne : RedHat 11,2 jours alors qu'il faut 16,1 jours pour
Windows
Comment devenir riche en vendant du gratuit?
De plus en plus d’entrepreneurs
choisissent la voie du logiciel libre avec comme objectif de détrôner
les leaders mondiaux de l’informatique. Ils ont tous en tête
les réussites de MySQL, Jboss, Red Hat, Xen, Ximian, GlueCode,
… Toutes ces sociétés se sont au moins vendues
plusieurs millions de dollars, et pour certaines, plusieurs centaines
de millions de dollars ! Qui sont les acteurs et les témoins
de ces réussites? Comment fait-on pour bâtir les
business models de demain, et ceux qui créent de la valeur?
Comment une nouvelle génération d’entreprises tire
partie économiquement du phénomène logiciel
libre pour gagner?
Animateur : Pascal Boulard -
journaliste La Tribune
Président : David Marr - VP
Legal Sun
Intervenants : Laurent Kratz - CEO
JAMENDO, Sacha Labourey - Co-fondateur Jboss, David Axmark - VP SUN
fondateur MySqL, Michel-Marie Maudet - Directeur Général
Adjoint LINAGORA
Il faut d'abord avoir un marché
(ceci ne change pas)
Il n'y a pas de meilleur « business
model », cela dépend de ce qu'on veut vendre et du
marché
Ne pas avoir comme objectif d'être
racheté (très cher) par un grand groupe
Il faut créer une communauté
L'Open Source force à rester
honnête, l'avantage va vers le client qui n'est pas prisonnier
de l'entreprise de service puisqu'il peut acheter le service ailleurs
Les modèles de ventes
traditionnels doivent s'adapter car le pouvoir est entre les mains
des clients
Se transformer d'éditeur
traditionnel en Open Source prend du temps : SUN a mis 10 ans
Une évolution de la demande en
LL est un engagement sur le long terme, ce qui conduit certaines
sociétés à devenir éditeur
Une difficulté : expliquer aux
clients qu'ils doivent payer pour quelque chose de gratuit
Fichier attaché | Taille |
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Notes Paris Capitale Libre 09 2008.pdf | 74.51 Ko |
ASPiC2 répond aux besoins de tous les laboratoires utilisant des produits chimiques :
- optimiser la consommation des produits grâce au suivi des demandes
- localiser précisément les produits dans le(s) lieu(x) de stockage (pièce, meuble, etc.) ou dans les lieux de manipulation
- mieux maîtriser les risques chimiques en imposant des lieux dédiés (CMR, explosif, etc.)
- identifier les conteneurs (référence, demandeur, date, lot, etc.)
- mieux informer les utilisateurs sur la toxicité des produits (lien vers FDS)
- répondre aux exigences en matière de sécurité (pouvoir fournir un inventaire détaillé des risques)
- remplacer le cahier de commande papier
Historique des dernières versions :
Version 2.6 (mai 2016)
- Gestion des entrées-sorties du stock central vers les lieux de manip
- Emprunts, retours
- Possibilité d'historique pour le suivi d'exposition des personnes
- Gestion d'inventaire sous 2 formes :
- 1. Inventaire "automatisé" d'un ensemble de conteneurs via leurs codes-barres
- à partir d'une feuille excel listant les conteneurs d'un lieu
- une feuille excel peut résulter d'un scan de codes-barres
- controle de la compatibilité lieu/risques chimiques
- modification automatique du lieu de stockage ou message de consigne
- génération d'un fichier de consignes
- 2. Inventaire manuel (conteneur par conteneur) réservé au gestionnaire de produits :
Pour inventorier un conteneur, on clique sur sa case 'inventaire' (en rouge)
=> la couleur passe en vert
- 1. Inventaire "automatisé" d'un ensemble de conteneurs via leurs codes-barres
Version 2.5 (juin 2015)
- Gestion des risques chimiques
- Nouvel étiquetage des risques chimiques (CLP)
- Gestion des risques repensée et plus complète (réservée au gestionnaire de produits)
- Accès direct aux fiches de sécurité (FDS) via la colonne no. CAS
- Gestion du stockage des produits dangereux dans des lieux dédiés
- Gestion des lieux réservée au gestionnaire de produits
- Possibilité d'organisation en équipes / plateformes indépendantes :
- Gestion séparée de chaque plateforme (avec protection des droits d'accès)
- Consultation possible cross- plateformes
- Supervision des plateformes par l'instance hiérarchique (base de données commun
- Raccourcis rapides
- Edition directe du lieu de stockage
- Possibilité de suivi / modification directe de la quantité de produit restant
- Autres fonctionnalités
- Sélection de lignes pour appliquer d'un coup une même action (Supprimer, Changer de lieu, Régénérer etc.)
- Controle des "dépendances" avant la suppression de références de produits
- Controle de la compatibilité risques-lieu avant changement groupé de lieu (sur une sélection)
- Opérateurs de recherche plus complets
- Possibilité de "régénérer" des conteneurs supprimés par erreur (réservée au gestionnaire de produits)
Version 2.4 (juin 2013)
- Ajout de rôles avec des pouvoirs spécifiques
- simple user
- gestionnaire produits
- gestionnaire commandes
- SUPER USER
- Recherche simplifiée dans les listes de données ("in situ"):
- formulaire de filtre placé en haut de chaque liste
- recherche possible sur chaque champ de la liste (et plus)
- choix de l'opérateur de recherche
- Export des listes de résultats dans tableur (XLS)
- Demandes en cours regroupables par Distributeur, Demandeur ou Date
- Produits de références
- Suppression sécurisée (impossible si référencé par des conteneurs)
- Caractères accentués et spéciaux mieux gérés (ex.: 1 1' 4' 1''-terphenyl-4-thiol)
- Controles de validité plus poussés (no. CAS, etc.)
AIGLe est un Système d'Information Collaboratif destiné aux laboratoires de type UMR. Toute personne appartenant au laboratoire accède à l'application (en ligne) et y possède les droits qui lui sont propres et qui lui ont été attribués par l'administrateur.
L'application fournit de nombreux services :
- Gestion de la production scientifique :
- dépôt/modification et récupération (automatique et/ou manuelle) depuis et vers HAL (Hyper Archives en Ligne)/TEL/CEL et vers arXiv/PubMed_Central (via HAL).
- import de documents bibliographiques depuis EndNote, arXiv, PubMed et Web of Sciences (sous réserve d'abonnement).
- AIGLe est à ce jour l'unique application (libre ou propriétaire) exploitant toutes les
fonctionnalités des webServices de HAL pour déposer / modifier / moissonner / importer / exposer l'ensemble de la production
scientifique d'une structure de recherche.
- Réservation de salles.
- Réservation de matériel.
- Organisation de congrès/séminaires.
- Gestion de la bibliothèque.
- Gestion de documents internes.
- Les votes, enquêtes, sondages au sein du laboratoire.
- Gestion des absences/missions.
- Les informations sur le personnel (contrôle avec la base Labintel et/ou Harpège).
- Génération de pages web (pages perso, liste des publications, annuaire, trombinoscope etc ...)
AIGLe est fourni avec un plugin. Ce plugin est compatible avec les CMS SPIP et Fastboil et peut également être utilisé sans CMS ou même, en utilisant des 'iframe', avec n'importe quel CMS.
AIGLe étant modulaire, il est possible de ne pas utiliser tous les services.
AIGLe est capable de récupérer sans intervention manuelle les publications du laboratoire déposées sur HAL par les collaborateurs d'autres laboratoires.
Il aide à détecter :
- Les doublons HAL.
- Les noms des auteurs de votre laboratoire mal orthographiés sur HAL.
- Les noms de revues mal orthographiés sur HAL, etc ...
NB : il n'est pas très difficile de transformer AIGLe en mini-instance de HAL en ajoutant par exemple des métadonnées propres à votre laboratoire dans les publications, ou même de nouveaux types de publications.
L'authentification des utilisateurs peut se faire via pwauth (unix), imap(s), ldap(s) ou mysql.
Publications :
- Import des notices biblio issues de EndNote ou de Wikindx (Fichier XML).
- Import des fichiers XML issus de Labintel, permettant un contrôle du personnel.
- Import de notices Biblio depuis : HAL (référentiel), arXiv, PubMed, Web of Sciences (sous réserve d'abonnement à WoS).
- Export des notices Biblio au format RTF, Endnote Refer, HTML, etc ...
- Repérage dans un fichier csv issu de l'OST (cette fonctionnalité n'est plus maintenue depuis la version 4.3.5).
- Communication (via les webservices) avec HAL pour l'échange des informations sur les publications (AIGLe dispose de son propre Webservice permettant à HAL d'informer AIGLe des changements d'état des publications).
Gestion du personnel et de l'annuaire :
- Possibilité de communiquer avec un serveur LDAP ou une base de données utilisateurs.
- Possibilité de faire des vérifications à partir de HARPEGE ou de Labintel.
- Exportation de liste d'informations au format PDF, excel ou csv.
Internet :
- AIGLe comprend un plugin (SPIP, FastBoil, Iframe, noCMS) pour exposer les publications, l'annuaire, les pages web professionnelles des personnels, les séminaires, les colloques, les congrès, etc... sur le serveur Web du laboratoire. Ce plugin peut-être configuré selon l'utilisation que l'on en veut. La version SPIP peut fonctionner avec ou sans le kit CNRS (recommandé).
-
Utilisation coutumière de quasiment tous les chercheurs et ita/iatos de mon laboratoire (L2C) pour : réservation de salle, de matériel, déclaration des absences, dépôt de publication, gestion des séminaires, déclaration des invités, recherche de livre dans la bibliothèque (plus de 3000 livres au L2C) , annonce de congrès, workshop, utilisation du plugin SPIP pour notre site Web etc...
-
Utilisation journalière de la documentaliste du laboratoire (dépôt de publications, gestion de la bibliothèque).
- Il est utilisé quotidiennement à l'ICG, Institut Charles Gérhardt, principalement pour la gestion et le dépôt des publications.
La gestion de la structuration interne des grosses unités est assez rudimentaire. Même s'il permet d'annoncer des congrès (ainsi que le formulaire d'inscription et la liste des participants), ce n'est pas un véritable système de gestion des congrès (comme Indico par ex.). Le logiciel est assez modulaire mais reste une vraie "usine à gaz". Il n'est parfois pas évident de s'y retrouver, en particulier pour le public "non-informaticien" (la documentation, bien que volumineuse, n'est parfois pas très compréhensible).
git est un logiciel de gestion de versions décentralisé. Son rôle principal est d'assurer le suivi des modifications dans un ensemble de fichiers. Il repose sur un système d'archivage de fichiers adressable par le contenu via l'utilisation de fonctions de hachage cryptographiques (SHA-1) pour indexer les fichiers.
git est principalement utile avec des fichiers au format texte (code source, fichiers de configuration,...) mais il peut aussi gérer des documents binaires de manière efficace.
Comme tout logiciel de gestion de version, il permet d'enregistrer les modifications successives de l'ensemble des fichiers, de visualiser l'historique des modifications, de gérer des branches de modifications parallèles.
Son aspect distribué rend cette dernière fonctionnalité particulièrement puissante. Chaque utilisateur
disposant d'une copie locale de l'historique du projet, il est possible de travailler hors-ligne, les outils de fusion des branches permettant ensuite de résoudre les éventuels conflits.
Enfin git permet de gérer de nombreux types de flux de travail, que ce soit pour un utilisateur isolé, des petits groupes de travail informel ou des gros projets nécessitant le respect de règles précises.
- Interfaces avec d'autres systèmes de gestion de versions : git permet d'importer des dépôts existants de CVS, SVN ou Perforce.
- Interfaces graphiques en plus des outils de base en ligne de commande : git dispose d'outils graphiques pour visualiser l'historique des modifications d'un dépôt, soit intégrés dans la distribution de base (gitk, git-gui, gitweb) soit sous forme de logiciels tiers (qgit, giggle, ...)
- « hooks » à tous les niveaux permettant d'insérer dans le processus des procédures de vérification du code, d'envoi de messages d'information,...
git est multi-plateformes (Unix (Linux, BSD, Solaris,...), Mac OS X, Windows). En plus de ses fonctions d'import/export vers d'autres systèmes de gestion de versions, il existe des plugins pour l'insérer dans de nombreux environnements de développement tels que Eclipse (egit), kdevelop, ou Xcode (voir liens dans logiciels connexes).
git-svn permet l'interopérabilité bi-directionnelle avec subversion.
L'outil Tortoise git permet une intégration avec l'explorateur de fichiers de Microsoft Windows.
De nombreux logiciels développés au laboratoire sont gérés sous git. Le service informatique propose un serveur d'hébergement git couplé au logiciel de forge Trac pour héberger les développements de chercheurs. En particulier les équipes du pôle robotique maintiennent l'ensemble de leurs développements mis à disposition sous licences libres sur ce serveur.
La principale difficulté de git est sa richesse fonctionnelle. Bien que les concepts et les commandes de base soient très faciles à comprendre, il y a derrière une richesse et une complexité qui peuvent dérouter certains utilisateurs.
git permettant une grande liberté dans le type d'organisation du développement, il faut se donner des moyens organisationnels pour gérer et canaliser le développement de projets de grande taille.